Commentaire: en faire plus sans en faire trop, le défi de Gottéron en play-off
Pierre Schouwey
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Julien Sprunger au balcon de la cathédrale Saint-Nicolas, brandissant la coupe en saint patron, devant 20 000 personnes en extase; Chris DiDomenico qui descend une canette cul sec après en avoir versé une entière sur le mulet de Maximilian Streule; Christian Dubé les cheveux en pétard, un cigare dans le bec; Andrei Bykov, «superstar de Gottéron», en larmes en entendant la foule chanter sa légende une énième fois; Hubert Audriaz, le trophée et tout un canton sur le porte-bagage, roulant à toute allure – tant pis pour le 30 km/h – vers une nuit blanc et noir. Tous les suiveurs du club se sont déjà fait le film, osé mais joli.
Qu’ils y croient, plus que jamais. Voilà 11 ans, et la dernière des quatre finales perdues par Gottéron, ce loser magnifique à la quête éternelle, que fiction et r&