Jardinage » Otto est fou de Jane, mais il se gêne. Amis dans la vraie vie, ils sont pourtant rivaux lorsqu’ils jouent au loto. Quand l’Anglaise crie déjà victoire, les cartons d’Otto sont encore désespérément déserts. Et il en a marre. Si ses copines la surnomment Jane double quine, ce n’est donc pas un hasard. Frustré, Otto est le genre de mauvais perdant à crier «coup de sac!» à tire-larigot. Malgré cette différence de chance, Otto adore accompagner sa Jane au gré des lotos. Bon, c’est surtout pour l’aider à porter et à manger les jambons de la réussite.
Il cherche la faille pour séduire cette fusée du carton. En papotant avec une de ses copines, Otto prend conscience qu’il dispose d’un talent qui pourrait la faire craquer. En effet, le logis de Jane est une désolation