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L’arnaque pseudoscientifique derrière le Blue Monday

Le troisième lundi de janvier serait le jour de l’année le plus déprimant, selon un psychologue anglais. Vraiment? Retour sur ce joli coup marketing qui n’a pas de valeur scientifique.

Un transat dans la grisaille, un phare dans la torpeur hivernale en attendant des jours plus chauds. © Alain Wicht-archives © La Liberté
Un transat dans la grisaille, un phare dans la torpeur hivernale en attendant des jours plus chauds. © Alain Wicht-archives © La Liberté

Claire Pasquier

Publié le 14.01.2024

Temps de lecture estimé : 3 minutes

Société » Chaque mois de janvier, la promesse d’un achat, d’une activité de loisirs ou d’un voyage pour combattre le Blue Monday se répand dans les encarts publicitaires. Car le «lundi bleu» qui intervient durant la troisième semaine du mois de janvier serait le jour le plus déprimant de l’année, selon un psychologue britannique, Cliff Arnall.

Depuis son apparition en 2005, le concept a pris une ampleur internationale et a essaimé sur les réseaux sociaux et dans les médias, ces derniers y allant tous de leurs conseils pour contrer ce passage à vide d’une seule petite journée…

Calcul savant

Pour déterminer cette date, le Britannique prend en compte l’attente de la prochaine paie, la météo, le temps écoulé depuis Noël et celui écoulé depuis les bonnes résoluti

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