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La National League milite pour la mise en place d’un fair-play financier – et si c’était la bonne?

Les 14 clubs de l’élite suisse devront-ils respecter un plafond salarial à partir de 2028? C’est le vœu de la majorité (dont Fribourg-Gottéron), qui attend la révision de la loi sur les cartels pour aller de l’avant.

Julien Sprunger sera à la retraite le jour où Denis Vaucher et John Gobbi (à sa droite) parviendront à instaurer le fair-play financier en National League. © Keystone
Julien Sprunger sera à la retraite le jour où Denis Vaucher et John Gobbi (à sa droite) parviendront à instaurer le fair-play financier en National League. © Keystone

Pierre Schouwey

Publié le 21.12.2023

Temps de lecture estimé : 6 minutes

Hockey sur glace » Et si cette tentative était la bonne? Tel est l’espoir de la National League. Tous ses actionnaires – à savoir les 14 clubs qui la composent – sont favorables à la mise en place d’un plafond salarial, à l’exception de deux réfractaires: Zurich et Berne. Deux mastodontes qui avaient fini par refuser le gentlemen’s agreement – du même genre que celui qui régit la limitation du nombre de joueurs étrangers sur la glace, contraire à la loi – devant permettre d’introduire une déclinaison du salary cap dans l’élite du hockey suisse à partir de la saison 2022/2023, soit en même temps que le passage à 6 mercenaires par équipe, et ce malgré l’absence de base légale. Pas de majorité absolue, pas de réforme. Fin de l’histoire, au revoir merci? Pas si vite.

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