La Liberté du 28 décembre dernier m’a appris que nous tenions notre Thomas Pesquet (star française de l’espace). Eh oui, la Suisse a son nouveau spationaute après Claude Nicollier: Marco Sieber. Lui qui termine sa formation initiale d’astronaute du côté de Cologne.

Pour ce brave homme, son travail fait partie de la solution au dérèglement climatique, et il se dit très sensible à la cause environnementale. Il pense que le tourisme spatial promu par Jeff Bezos ou Richard Branson, deux altruistes bien connus, n’est pas un mal. Il compare Elon Musk qui veut coloniser Mars à Christophe Colomb. Je trouve que M. Sieber a de bonnes références.

Thomas Pesquet, lui, a écrit de nombreux bouquins dont La Terre entre nos mains considéré comme un plaidoyer magistral pour une prise de conscience collective face au bouleversement climatique (ce n’est pas moi qui le dis, mais Amazon). Je crois juste que ces deux messieurs réalisent juste leurs rêves de gamins et se contrefichent de l’impact écologique de leur activité. Ils devraient juste l’assumer.

Et pendant ce temps, comme chante Renaud: «Cinq cents connards sur la ligne de départ, cinq cents blaireaux sur leurs motos, ça fait un max de blairs…» Eh oui, le Dakar: en voilà une autre belle activité du moment pratiquée par plein de gens sensibles à la cause environnementale. Me voilà rassuré.